1er août 2015

Le mur des ambassadrices prend forme

Quelques jours avant l’ouverture du Monastère des Augustines au grand public, l’équipe de la Fiducie a installé toutes les composantes du mur des Ambassadrices. Celui-ci a fière allure à proximité de l’entrée qui accueille les visiteurs provenant de la rue Charlevoix. Au moment d’écrire ces lignes, les noms des 63 ambassadrices avaient déjà pris place autour de la plaque commémorative. Au cours des prochaines semaines, 12 autres femmes de tête, femmes de cœur et femmes d’honneur rejoindront leurs prédecesseures. Avec ces nouvelles inscriptions, le Cercle des ambassadrices regroupe maintenant 75 femmes qui ont choisi de soutenir la mission sociale et culturelle de la Fiducie.

Un concept qui s’inscrit dans la continuité

Le concept imaginé par Marianne Charbonneau, une ambassadrice qui est également architecte de la firme ABCP associée au projet du Monastère des Augustines, a été dévoilé le 27 mai dernier à l’occasion de la soirée dédiée aux ambassadrices. Il se compose d’une plaque commémorative rappelant l’œuvre de la première mécène de l’histoire du monastère, la duchesse d’Aiguillon, tout en soulignant l’œuvre des femmes d’aujourd’hui qui unissent leurs forces afin de faire rayonner la mémoire et l’œuvre des Augustines.

La symbolique du Cercle des ambassadrices est renforcée par chacune des plaquettes gravées du nom de ses membres qui gravitent autour de la plaque commémorative. Puisque le mur est vaste, il peut encore accueillir toutes celles qui souhaitent se joindre au Cercle.

 

Texte de la plaque commémorative :

Tout comme la duchesse d’Aiguillon qui, dès 1637, a financé l’établissement de trois Augustines en Nouvelle-France afin qu’elles puissent y implanter le premier monastère-hôpital en Amérique au nord du Mexique, ces femmes de tête, femmes de cœur et femmes d’honneur unissent de nouveau leurs forces afin de faire rayonner la mémoire et l’œuvre des Augustines. Depuis 2015, ces ambassadrices contribuent à façonner un patrimoine solidaire et en santé afin qu’il demeure accessible aux générations à venir.

 

Photo : Louise Leblanc

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